Le groupe Afrikan Legend, véritable ambassadeur culturel et précurseur du style Ikoku Vibe, a connu une année particulièrement intense, comme en témoignent les publications sur les réseaux sociaux.
Si le groupe s’est fait discret musicalement, il n’en demeure pas moins qu’ils ont multiplié les événements : Showcase en France, participation au Festival Black History Arts, et une prestation mémorable à Houston, au Texas, dans le pays d’adoption du célèbre rappeur Ludacris. Une année bien remplie, à n’en pas douter.
Cependant, une promesse d’album faite en début d’année reste en attente. Le groupe avait tout de même offert à ses fans le single “Enjaillement” largement diffusé sur Trace Africa. Un morceau qui, bien que populaire, détonnait par rapport à l’identité musicale à laquelle le public était habitué.
Face à ces attentes, le groupe semble vouloir renouer avec les bases de leur succès : l’Ikoku Vibe. Leur retour commence avec un single intitulé « BOUKET« , réalisé en collaboration avec un autre acteur phare du mouvement; Zyon Styleï.
Mais c’est une autre annonce qui enflamme la toile : une collaboration imminente avec Dadju, star internationale et artiste multi-récompensé (NRJ Awards, Victoires de la Musique). Cette rencontre artistique aurait été facilitée par le web-humoriste Chambre à Louer, connu pour ses connexions dans l’univers du divertissement.
Le groupe a partagé un extrait du titre sur leurs réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où un concours autour de cette collaboration bat son plein. Bien que le titre du morceau et sa date de sortie restent un mystère, les premiers échos laissent présager un véritable événement musical, qui pourrait être considéré par beaucoup comme l’une des plus grandes collaborations de l’histoire du mouvement Ikoku.
Avec un tel partenariat, Afrikan Legend s’apprête à marquer un tournant pour l’Ikoku, en le projetant sur une scène internationale. Si cette collaboration s’avère être un succès, elle pourrait bien renforcer l’attrait mondial pour ce style musical unique, mêlant rythmes traditionnels gabonais et modernité.
Alors, l’Ikoku domine t-il le monde ?