La semaine dernière, les représentants légaux de la star ont déposé une nouvelle requête visant à enregistrer le nom de Blue Ivy Carter en tant que marque, contestant une décision récente de l’Office qui évoque une possible confusion avec une boutique de vêtements du Wisconsin, également nommée Blue Ivy.
Dans cette requête, les avocats de Beyoncé soutiennent que la confusion évoquée est improbable, arguant qu’aucun consommateur raisonnable ne confondrait la fille mondialement célèbre de Beyoncé et Jay-Z — qualifiée un jour de « bébé le plus célèbre du monde » — avec une petite boutique indépendante de Fish Creek, une localité rurale de moins de 1 000 habitants.
Le différend remonte à 2012, peu après la naissance de Blue Ivy. À l’époque, la société BGK Trademark Holdings LLC de Beyoncé avait introduit une demande d’enregistrement de la marque « Blue Ivy Carter » afin de protéger ce nom unique. Cette initiative avait suscité des questions parmi les fans, certains se demandant si le couple souhaitait commercialiser l’image de leur fille. Jay-Z avait clarifié dans une interview à Vanity Fair que l’objectif n’était pas de tirer profit du nom, mais de prévenir toute exploitation commerciale non autorisée.
« Des gens voulaient utiliser le nom de notre enfant pour des produits. Nous ne voulions pas que d’autres en profitent », avait-il expliqué en 2013. Malgré cette intention de protection, l’enregistrement du nom en tant que marque reste toujours en suspens, plus de douze ans après le dépôt initial.